Jean-Baptiste Cavaignac a fait l'objet d'une dénonciation pour son comportement sous la Terreur en pays basque. Il se défend en rejetant tous les torts sur l'autre conventionnel, PInet.
Jean-Baptiste Cavaignac, conventionnel en mission auprès de l'armée du Rhin, donne des instructions provisoires à un général de cavalerie en attendant les ordres définitifs du général Pichegru qui doit arriver de Paris.
Guillaume termine son séjour, se rend aux sollicitations de Mr Argand et va coucher chez Me Lenoir, le lieutenant de police. Il rentrera à Paris à la fin de la semaine suivante. Au dos de la lettre, quelques mots de Clémentine.
Lettre datée par erreur du mardi 13 juillet 1789. Le voyage à Genève de L.A., de son père et de Clémentine est de 1790. Petit mystère sans importance. La lettre est anodine.