Après huit ans d'absence Louis-Alexandre est rentré d'Orient quelques jours avant la mort de Clémentine ; il en est fait un récit précis et émouvant à Julie.
Clémentine est partie se refaire une santé à Genève et Juliette ne peut pas aller à Brive pour l'instant. La déclaration de guerre à l'Angleterre l'inquiète pour son mari, dont elle n'a pas encore reçu de nouvelles.
Me Corancez et Clémentine s'apprêtent à repartir à Fontenay. La belle-mère a proposé d'y prendre Godefroy , Eugène et Louise (sans doute la bonne). J-B.C les conduira dimanche et ne se fera pas prier pour aller chercher Juliette à Epernon.
Guillaume écrit bien et facilement. Il philosophe sur la bonne entente des frères et soeurs et sur le ménage de Foissy (on est loin de Robespierre). La cousine Dobet souhaite les réunir à Sauvage.
Guillaume termine son séjour, se rend aux sollicitations de Mr Argand et va coucher chez Me Lenoir, le lieutenant de police. Il rentrera à Paris à la fin de la semaine suivante. Au dos de la lettre, quelques mots de Clémentine.
Quatre pages de lamentations probablement dans le style et le goût de l'époque. (difficile à lire) Félicité à Compiègne pendant un mois était absente au moment du décès. Les relations de Félicité et de la famille n'ont pas du être bonnes.
Félicité a du aller à Compiègne. (Clémentine de Corancez est morte le 20/04 et Félicité cache la vérité à Juliette, qui a du être prévenue par ailleurs)