Jean-Baptiste C. a reçu une lettre de Godefroy avec une apostille d'un Mr. Buzelin, présumé directeur de la pension. Le jugement porté sur Godefroy et le ton des observations mettent Jean-Baptiste hors de lui.
Jean-Baptiste C. a beaucoup de dettes et chaque tomolo de blé vendu moins de 20 carlins le met en déficit. Il n'a vendu son vieux blé qu'à 18 carlins le tomolo et il lui en reste encore !